
Et si nous faisions connaissance ?
Je suis Wolfgang Autexier et vous partage ici mon univers photographique : et un peu plus encore…
Mon père était historien la musique, dix-huitiémiste, spécialiste de Mozart. C’est par passion que j’ai hérité du prénom Wolfgang ; mais également d’une très forte culture des arts et de la musique. J’ai d’abord tendu vers une sensibilité scientifique et technique avant de faire quelques années en école d’architecture : un parcours diversifié tel celui des artistes de la Renaissance tout à la fois maîtres d’œuvres et créatifs, multidisciplinaires et curieux de sciences. Mais c’est finalement la passion de la photographie qui l’a emporté : à un tel point que nombre de personnes me pensent exclusivement photographe.
Photographe animalier depuis 2006, je me suis fait connaitre au travers de mon travail sur la faune sauvage charentaise. J’ai néanmoins été bien plus curieux ces dernières années. Rattrapé par d’anciennes passions, je me diversifie. L’architecture revient au travers de la photographie et de mon regard porté sur le patrimoine, mais aussi le paysage, le portrait ou le nu : des sujets au centre de mon approche picturale, avant ma période photographique. Plus atypique, mes chasses aux orages sont probablement elles aussi les témoins de mon intérêt insatiable pour les forces de la nature.
La litanie des sujets abordés peut cacher le sens profond de mon approche. En effet, le photographe cache un poète. Nous ne sommes pas d’abord photographe ; nous sommes avant tout observateurs et interprètes. Plus libre et sensible encore, je me vois d’avantage comme un poètes de l’univers qui nous entoure. En cela, la photographie est seulement un média : j’aurais fort bien pu choisir un autre média, tel que la peinture. La poésie, le regard personnel, subjectif, sont le fond de mon œuvre photographique.
De plus en plus fréquemment je partage cette inspiration poétique à travers des expositions et des festivals de prestige tels que : le beffroi de Bruges (Belgique Flamande) qui m’a accueilli trois fois lors de salons d’art, le musée de Condeixa (Portugal), le palais des congrès de Innsbrück (Autriche), ou encore Arles à l’occasion du festival de la photographie de nu. Au-delà de ce partage, je cherche à accompagner mon œuvre d’une démarche de médiation culturelle, de sensibilisation à la biodiversité ou à la protection du patrimoine : allier art, éveille culturel et médiation scientifique.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.